Monsieur le ministre,
Nous avons préféré attendre que les émeutes cessent pour vous écrire. Le temps de la crise est rarement celui de la juste réflexion et peut-être n’auriez vous pas eu toute l’attention nécessaire pour nous lire… —
Lire la suite de notre lettre ouverte au ministre chargé de la ville ici : https://bit.ly/3NPLklb